Ceci fait suite à la note d'hier sur l'article nauséabond du Nouvel Observateur. On a connu les agriculteurs bretons habiles dans le déversement de tombereaux de fumier devant les préfectures. Une bonne idée serait d'aller déverser quelques tonnes de bouses devant le siège du Nouvel Observateur situé à Paris place de la Bouse, euh, de la Bourse. Allez, les gars ! Après cela vous irez peut-être séjourner brièvement dans une prison de Nantes, ou de Rennes si Nantes n'est plus en Bretagne, mais avec la satisfaction d'avoir traité ces minables bobos du Nouvel Obs comme ils le méritent, avec la matière qu'ils emploient pour déféquer leurs articles. Ils ont des chapeaux ronds, vive la Bretagne.
Nolwenn Leroy - Dans les prisons de Nantes
... de Nantes à Montaigu, la digue-la digue, de Nantes à Montaigu....
La Digue du cul est une chanson paillarde traditionnelle très populaire, surtout dans l'Ouest. Elle a été publiée dans le recueil de chansons estudiantines Fleurs du Mâle dès la parution de celui-ci en 1922. Ce recueil a été créé par le Cercle des Sciences de l'Université libre de Bruxelles. Elle a notamment été interprétée par Les Frères Jacques mais aussi par le groupe français d'heavy metal Vulcain et par le chanteur français Pierre Perret. Le titre de la chanson, qui revient comme un leitmotiv dans les paroles, prend ses sources au Moyen Âge. Il existait alors, approximativement à mi-chemin de Nantes et Montaigu, une digue où les habitants de la région avaient l'habitude de se retrouver le soir tombé pour y discuter d'affaires sexuelles. Cette digue fut alors rapidement surnommée "la digue du cul". Il n'en reste rien aujourd'hui. (SOURCE : wikipédia)
J'aime bien l'idée avancée par wikipedia que les habitants se retrouvaient sur cette digue pour y discuter d'affaires sexuelles ! On imagine des scènes pittoresques...
- Ah ! le bon soir vous va, jolie dame, seriez-vous preneuse d'un beau dard poilu, par cette belle soirée d'équinoxe ?
- Oui-da, mon bon monsieur, montrez-moi donc l'objet, j'en suis vivement impatiente, j'en ai les grandes lèvres déjà entr'ouvertes et le suc délicieux du désir m'envahit l'entrejambe.
(Nolwenn, désolé, si tu tombes sur ces lignes, j'ai encore dérapé !)
Commentaires