Grâce à Marine Le Pen, nous venons de découvrir que dans la république laïque irréprochable de Monsieur Sarkozy 100% des abattoirs de la région parisienne sont devenus halal à l'insu du plein gré
- des ministères concernés
- des revendeurs au détail
- des consommateurs
Une proportion encore non évaluée des abattoirs des autres régions ont adopté le même rituel imposé par l'islam. Une proportion encore non évaluée ! Cela donne un aperçu du soin mis par les pouvoirs politiques et sanitaires à se préoccuper de la provenance de notre nourriture. Madame Le Pen ayant mis le nez dans l'affaire, les "responsables" irresponsables ont lancé une enquête ! De qui se moque-t-on ? Des mêmes comme d'habitude, et ça tombe mal ou bien, dans une poignée de semaines nous allons nous retrouver devant une urne pour dire notre façon de penser. Dire qu'il y en a encore qui ricanent quand je leur dis que l'islamisation de la France est en bonne voie (avec la bénédiction silencieuse des chrétiens, des athées, des agnostiques, des témoins de Jehovah)...
La république est laïque, dit-on : que son président nous explique pourquoi elle a laissé une religion imposer sa doctrine jusque dans l'alimentation de tous les citoyens (majoritairement mécréants).
La réalité de l'abattage rituel Halal et Casher : entre business et cruauté
L'abattage rituel, notamment représenté par les viandes dites Halal et Casher pour les communautés respectivement musulmanes et juives ne cesse de progresser en France. Sous couvert du droit de s'alimenter selon son culte, ces méthodes d'abattage finalement peu connues révèlent un business florissant et une cruauté inacceptable envers le vivant.
En France, les règles générales de l'abattage classique imposent depuis 1974 que les animaux soient étourdis dans des abattoirs avant d'être saignés, ceci afin de limiter la souffrance animale. Dans les pays de l'Union européenne, c'est la Directive 93/119/CEE du Conseil qui définit les normes en matière d'abattage : Le personnel d'abattage doit posséder les compétences, capacités et connaissances professionnelles requises. Les animaux doivent être étourdis avant l'abattage ou immédiatement mis à mort.
Si l'étourdissement ne semble pas toujours appliqué correctement dans les abattoirs français son absence est toutefois autorisée dans le cadre de dérogations liées à l'abattage rituel. En effet, l'abattage rituel nécessite que les animaux soient saignés alors qu'ils sont encore pleinement conscients.
Par définition, une dérogation "constitue une exception dans l'application d'une règle d'origine contractuelle, légale, ou administrative". Or, dans une lettre ouverte adressée au président de la République du 10 juin 2010, un regroupement d'associations de protection animale souligne qu'en France déjà 50 % des ovins sont égorgés conscients et donc sensibles à la douleur, il ne s'agit donc plus d'une exception. D'autant plus que seulement 7% de la population française serait de confession juive ou musulmane.
Une souffrance animale inacceptable
L'abattage rituel, cela reste un abattage industriel, avec ses cadences inadmissibles et sa maltraitance continue envers l'animal, le tout sans étourdissement préalable. Pendant plusieurs minutes, les animaux prisonniers de leur piège mécanique agonisent la gorge tranchée, pendant que d'autres, témoins de la scène attendent leur tour.
Entre l'égorgement et la perte de réaction cérébrale, plusieurs dizaines de secondes peuvent s'écouler : une période d'angoisse, de peur, de stress et surtout de douleur extrême qui donnent de surcroît une viande de médiocre qualité...
100% de l'abattage en Ile-de-France est halal
Plus pernicieux encore : une partie significative de la viande d'animaux abattus sans étourdissement préalable pour les boucheries juives et musulmanes, au lieu d'être effectivement destinée à ce marché, est finalement écoulée sur le marché global de la viande... Or, 72 % des français désapprouvent la dérogation permettant de ne pas étourdir les animaux avant leur abattage.
L'exemple de l'abattoir de Meaux, en Ile-de-France, est révélateur : depuis 2008, tous les animaux qui y entrent sont abattus sans étourdissement, selon l'abattage rituel, peu importe que les vaches soit destinées au marché religieux ou non.
On pourrait se rassurer en croyant à une exception, il n'en est rien : "ce que nous avons constaté après les 8 mois d'enquête c'est que les 5 abattoirs qui fonctionnent en Ile-de-France, abattaient tous selon le rite musulman" (source : Maison de l'élevage d'Ile-de-France).
Or il n'existe aucun moyen pour le consommateur d'identifier le mode d'abattage de la viande qu'il achète, que ce soit dans les supermarchés ou les boucheries : un tour de force inacceptable qui s'explique une nouvelle fois pour des raisons de rentabilité.
Un choix cornélien pour le consommateur
Littéralement pris en otage, le consommateur a de moins en moins le choix : même en privilégiant de la viande issue de l'"agriculture biologique", rien ne garantit qu'elle ne soit pas issue d'un abattage rituel. Deux solutions : devenir végétarien ou faire pression sur son boucher en réclamant de la viande issue d'un abattoir qui ne fait pas passer les impératifs financiers avant la loi, le respect du client, la transparence et la santé.
Quelques vidéos de l'enquête GAIA dans des abattoirs de Belgique qui pratiquent l'abattage rituel Halal
© GAIA -- Déconseillé aux personnes sensibles
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Une viande est halal si elle a été abattue selon le rite musulman, sans étourdissement préalable. « Il existe dans l’abattoir un sacrificateur chargé de procéder à l’égorgement de la bête. Il doit invoquer le nom de Dieu, placer la tête de l’animal en direction de La Mecque et utiliser une lame bien tranchante pour ne pas faire souffrir la bête. Seules les mosquées de Paris, Lyon et Evry, habilitées par le ministère de l’Agriculture, sont autorisées à délivrer des cartes de sacrificateur.