Le billet ici du 19 août racontait que la sénatrice socialiste Rossignol (tous les socialos ne se nomment pas Désir, il y a aussi des Rossignol dans le lot) s'était offusquée de la passivité des témoins quand un malfrat venu enrichir le pays de sa présence lui avait dérobé le pognon tiré dans un distributeur : lire "Le premier problème de l'insécurité, c'est la lâcheté collective".
Avec cette déclaration d'une profonde idiotie, typiquement dans la mentalité socialiste, cette dangereuse idéaliste vient de causer une victime innocente. A Marignane, un retraité (Jacques Blondel, 61 ans, PHOTO ci-dessous) remontant de la plage avec sa femme et sa petite-fille de 15 mois a voulu barrer le passage à deux petites crapules, du genre qui pullulait à Marseille avant la prise de fonction de Manuel Valls, qui venaient de braquer un bureau de tabac. Il en est mort ! SOURCE : ARTICLE DANS LE PARISIEN
Question 1 à la sénatrice Rossignol : Comment analysez-vous ce drame à la lumière de votre déclaration en juillet au journal Le Courrier Picard ? ("Le premier problème de l'insécurité, c'est la lâcheté collective")
Question 2 à la sénatrice Rossignol : vous qui semblez avoir des idées sur comment combattre l'insécurité quand il s'agit du pognon que vous tirez des impôts et taxes pour glander et jouer en ligne pendant les séances au Sénat (on a les preuves indiscutables), veuillez nous expliquer comment votre Manuel Valls va dorénavant empêcher de tels braquages d'avoir lieu dans la région de Marseille.
Question 3 à la sénatrice Rossignol : Supposons... Au lieu de laisser sa vie, le retraité a réussi à passer en voiture sur le (présumé) délinquant, l'écrabouillant comme une vermine, ou bien un passant est parvenu (méthode que vous regrettiez dans Le Courrier Picard n'avoir pas vue appliquée) à lui faire un croche-patte l'envoyant valdinguer et se fracasser mortellement contre une bordure. A partir de là, grâce à votre parfaite connaissance des lois, veuillez imaginer le déroulement judiciaire de cette affaire pour le vaillant crocheteur de pied et le téméraire conducteur retraité.
Madame Rossignol, je ramasse les copies dans deux heures, éteignez votre portable et la tablette sur laquelle vous avez été surprise en train de jouer au Sénat, interdicton d'aller uriner, prenez vos précautions. Votre copie, si elle est digne d'une sénatrice de la république, sera publiée ici sans exclusivité (Le Figaro devrait s'en porter acquéreur aussi). Si, comme c'est plus que probable, vous traitez par le mépris et le silence mes demandes, vous serez battue aux élections et sombrerez dans les oubliettes auprès des douzaines d'incapables qui ont avant vous fait honte au pays par leur présence dans les hémicycles (Cahuzac vous y attend pour jouer au Monopoly helvétique). D'ores et déjà, si nos concitoyens ont un brin de bon sens, ils devraient vous montrer du doigt en ricanant dans les rues de votre circonscription.
SERGE m'a alerté sur ce terrible fait divers : "Et voilà, à Marignane il a raté son croche-patte... Qu'il repose en paix."
Rien à dire. Comme les honnêtes gens sont désarmés et les voyous enfouraillés, il convient de laisser pisser le mérinos, et si par malheur vous étiez bien équipé d'un calibre respectable et que vous abattiez un de estimable braqueur, je vous laisse le soin d'imaginer les ennuis qui vous tomberaient dessus plus dru que les obus prussiens à Gravelotte.
Pour avoir été braqué à main armée dans mon humble échoppe par trois "jeunes", j'ai filé le pognon, même si le flingue était manifestement faux, et je m'en porte bien. Armé, j'en mettais au moins deux au tapis, car chasseur et autrefois tireur en stand, ce n'était pas difficile. Aux USA, j'eusse été félicité, en France, j'étais bon pour le gnouf.
Rédigé par : Le Nain | 23 août 2013 à 16:09