EUROPE1 -- Les sacs en plastique fournis par les commerçants pour y fourrer vos marchandises sont donc interdits depuis ce 1er juillet. Pas tous les sacs : sont bannis les pochettes d'épaisseur inférieure à 50 micromètres, sans considération de volume, gratuites ou payantes. Boulangeries, boucheries, pharmacies, drogueries, petites et grandes surfaces et marchés sont visés par l'interdiction. Au 1er janvier 2017, une deuxième interdiction concernera les sacs plastique fins utilisés au rayon des fruits et légumes. Chaque année, 12 milliards de ce type de sac sont consommés en France. Ils devront être, là encore, remplacés par des sacs plus épais ou biodégradables. Les sacs en plastique fins, qui ne peuvent pas être réutilisés, sont à l'origine d'un gaspillage énorme. Pour une moyenne de 20 minutes d'utilisation, ils mettent plusieurs centaines d'années à se dégrader. selon le ministère de l'Environnement, 75% des déchets en mer sont des sacs plastique, les estomacs de 94% des oiseaux de la mer du Nord contiennent du plastique, tout comme 86% des espèces de tortues marines. Plus de 260 espèces animales sont touchées… et l'homme n'est pas épargné : par le jeu de la chaîne alimentaire, le plastique finit, au bout du compte, dans les assiettes. Le coût unitaire d'un sac "biosourcé" sera de quelques centimes, comparé à environ 0,5 centime pour un sac en plastique fin dont 80% sont importés, en général d'Asie. Selon le ministère de l'Environnement, "le développement de ces nouveaux plastiques biosourcés permettra de créer 3.000 emplois sur le territoire national". -- EUROPE1
Pour ma part, j'ai commencé ma campagne anti sac plastique il y a plus de vingt ans dans les commerces de presse. Comme j'ai tendance à être gros acheteur chez eux il est fréquent qu'ils me proposent un sac pour y caser toutes mes emplettes, ce que j'accepte "à condition que ce soit un sac fabriqué avec le papier de vos invendus". Dans dix cas sur dix je suis sorti jusqu'à présent sans sac.
Notre ministre de l'environnement, qui rêvait d'une stature internationale (succéder à Ban Ki-Moon à la tête de l'ONU) pour quand son ex et tous les socialistes seront éjectés à coups de pied au cul à la présidentielle de 2017, pourrait prendre son bâton de pèlerin pour parcourir le monde et éduquer tous ces pays qui regardent sans réagir leurs cités, champs et terrains vagues s'habiller de millions de sacs en plastique virevoltant à tout-va. Je pense par exemple au Maroc, où Royal pourrait s'attaquer à convertir un autre royal à la propreté.
Léo Ferré - Le temps du plastique
C'était trop beau pour durer. Il fallait que les trous du cul payés avec notre argent pour nous emmerder mettent fin à ce minuscule et innocent confort. Désormais, vous rentrez chez un commerçant, vous achetez deux, trois trucs, il pleut... et vous êtes censé repartir avec vos trucs dans les bras, votre portefeuille dans la troisième main pour le ticket d'autobus et vos gosses au bout du quatrième et du cinquième bras. Et c'est tout juste si le commerçant ne te demande pas ce que t'attends pour débarrasser le plancher.
Et tout ça pour quoi ? Pour pas faire de chagrin aux ours blancs. J'emmerde les ours blancs, c'est clair ? Si j'en vois un en bas de chez moi, je lui casse la gueule et je l'envoie se faire empapaouter chez les Grecs. Nous sommes "la cinquième puissance économique du monde" (prétendent les chefs de merde qui nous dirigent), et nous somme obligés de faire comme les peigne-culs soviétiques des années 50, qui ne sortaient jamais de chez eux sans un cabas à la main, pour le cas (très improbable) où ils tomberaient sur un magasin ayant quelque chose à vendre, auquel cas ils se collaient vite fait à la queue pour ne pas rater l'opportunité -- et il fallait, alors, avoir prévu le cabas, parce que vous ne croyez tout de même pas qu'en plus d'accepter de vous vendre de la marchandise, l'Etat communiste allait vous filer des sacs en plastique ? Eh bien, les néo-communistes qui nous gouvernent trouvent ça très bien, l'URSS, et ils veulent nous punir de donner dans le "consumérisme". Vous achetez trop de trucs trop souvent, bande de petits cons inopérants, et ça, ça donne des boutons à la mère Ségolène Royal, qui a des domestiques pour lui faire ses courses, je suppose.
Fini, donc, l'achat d'impulsion, celui qui fait marcher le commerce, celui qui fait vivre, dans les villes, les "pitits commerçants di proximiti" que les mêmes néo-communistes au pouvoir prétendent favoriser -- à coups de fusil. Fini, le petit cadeau qui ne coûte rien et qui lubrifie les relations entre vendeur et acheteur, le sac en plastique fourni sans restrictions ni règlement -- et dont le coût était inclus de toutes façons dans le prix de ce que t'achetais... Maintenant, quand tu veux t'acheter UNE bricole, il faut que tu prévoies 24 heures à l'avance, il faut avoir un projet-bricole, il faut se donner comme but dans la vie d'acheter une bricole mercredi prochain à 18 h 45 à la bricolerie Sanzot, et par conséquent prévoir de passer à l'avance chez soi chercher LE cabas qui va bien, celui agréé par l'ONU pour pas faire pleurer les oiseaux de mer. Ou alors, faut que tu prévoies la gueule renfrognée du marchand qui va te dire : c'est dix centimes le sac, ou un franc, ou un pain dans ta gueule, selon l'humeur du jour. Quand il n'a pas mis, devant sa caisse, un écriteau marqué : yapu de sacs, c'est interdit, allez vous faire foutre.
Et ce sont les mêmes trous du cul purulents qui te disent qu'il faut relancer la consommation. Bien entendu, tout ça est soutenu par des torrents de mensonges déversés par la presse aux ordres, des "statistiques" outrageusement fausses, des photos dramatiques, des oiseaux étouffés, des montagnes de plastique en mer, etc. J'adore, par exemple, tous les "journalistes" qui écrivent : un sac en plastique met 200 ans à disparaître (par exemple). Ben, en fait, non. Je te fais disparaître un sac en plastique quand je veux. Sérieusement, un jour, j'ai essayé. J'en avais ras le cul de toute cette propagande écoeurante, et j'ai pris un de ces sacs sataniques fabriqués en Chine par des esclaves fouettés nuit et jour par le baron Rothschild aidé de George W. Bush et de l'extrême-droite israélienne. Puis j'ai frotté une allumette. Eh bien, le sac disparaît en un clin d'oeil. Il ne reste rien. Pas de "micro-billes de plastique", pas de cendres. Rien. Que dalle. Exactement ce qu'il y a dans le crâne de Ségolène Royal. Et on va nous faire croire que les usines d'incinération géantes dont nous disposons pour éliminer les ordures ne peuvent pas faire disparaître les sacs en plastique ? Mais on se fout de la gueule de qui ?
TOUS les gens que je connais conservaient et réutilisaient les sacs en plastique, quand cette merveille du monde marchand moderne existait encore. Tout le monde les "recyclait", quand le mot n'avait pas encore été inventé, et qu'on n'avait pas un ministère de l'environnement pour nous expliquer comment mettre un pas devant l'autre. Donc je pose la question : les fameuses montagne de plastique qu'on nous montre pour faire pleurer Margot, elles viennent d'où ? Pas un seul journaliste pour se poser la question. Pas un seul "intellectuel" pour se demander si, par hasard, tous ces fameux sacs en plastique qui se retrouvent dans la mer (alors que, par exemple, quand je jette un lingot d'or à la poubelle, on ne le retrouve jamais dans l'estomac des oiseaux) ne proviendraient pas exclusivement des pays de merde où les gens chient dehors, et où, par conséquent, les ordures se retrouvent elles aussi un peu partout ? Comment se fait-il que seuls les "sacs en plastique", en France, sautent tout seuls, avec leurs petites pattes, hors de la poubelle où les jettent la plupart des gens, puis courent se jeter dans la mer grâce à leur sens infaillible de l'orientation ? Quelqu'un peut-il m'expliquer ce miracle ? Bah non, c'est comme d'hab', on nous culpabilise pour les méfaits des "peuples défavorisés du Tiers-Monde", et en plus on doit payer pour leur conneries.
Pendant ce temps-là, portes larges ouvertes à des immigrants qui effectivement, ont des habitudes de salopiots, jettent leurs merdes un peu partout, ce qui fait que les Ségolène Royal et autres malfaisants de cette espèce vont bien finir par avoir raison un jour. Ils nous mentent, ils nous oppriment, et en plus ça va être notre faute.
REPONSE de GG :
Les sacs en plastique que l'on retrouve dans l'estomac des animaux marins, oui, c'est également mon observation, ne proviennent pas des habitants de La Rochelle, Roscoff, Dieppe, Merlimont-plage, mais des habitants de pays au-delà de l'Europe. J'ai mentionné le Maroc. A ma dernière visite, alors que nous venions de l'aéroport et traversions des bourgs, bourgades et banlieues, notre regard fut attiré par d'étranges oiseaux blancs, en très grand nombre, posés, accrochés ou suspendus au sol, aux arbustes, aux arbres, une véritable nuée, en tous emplacements disponibles. Les gosses qui couraient à travers ces espaces ne les faisaient pas fuir car les oiseaux étaient des sacs en plastique. Les gamins ne les faisaient pas fuir, ils ne les ramassaient pas non plus, ni les adultes des services de voirie locaux, tout le monde s'en foutait éperdument. Il est évident que ce sont ces sacs-là qui s'envolent pour aller étouffer les tortues en mer, et non ceux de Madame Michu, ménagère de près de cinquante ans domiciliée à Sète (Hérault).
Permettez-moi de revenir sur deux commentaires précédents ...
Celui de Lafôte (sur Mer ?) à propos de la Fête des voisins et raillant fort à propos un outrecuidant persifleur à l'encontre de la blague en question.
Sauf que "l'orthographe de charcutier", expression que j'ignorais au demeurant, pourrait se faire lever massivement toute une valeureuse et bienfaitrice corporation déjà malmenée dans l'affaire Delajoux - Smet ...
Et puis Bernard qui se moque des bénévoles par rapport à PADMALGAM.
Et alors Cher Bernard, qu'avez vous contre les envoyés spéciaux permanents et bénévole en Haute-Volta ?
Rédigé par : Dominique | 03 juillet 2016 à 12:04
Back in the USSR. Les chefs qui nous gouvernent ont vraiment pour objectif de nous emmerder jusqu'au trognon. L'humanité capitaliste, la seule qui vaille, avait inventé un truc formidable pour le confort et la prospérité : le putain de bordel de Dieu de sac en plastique.
On traînait dans la rue, on entrait chez un commerçant, on achetait un truc, et celui-ci vous remettait le truc dans un sac en plastique vous permettant de le protéger et de l'emporter, et avec le sourire.
On pouvait recommencer vingt mètres plus loin, nouveau commerce, nouvel achat, nouveau sac, nouveau sourire.
En plus, les sacs étaient beaux, solides et pratiques. On les conservait, on les réutilisait. Ca faisait la pub du commerçant et le client était content.
C'était trop beau pour durer. Il fallait que les trous du cul payés avec notre argent pour nous emmerder mettent fin à ce minuscule et innocent confort.
Désormais, vous rentrez chez un commerçant, vous achetez deux, trois trucs, il pleut... et vous êtes censé repartir avec vos trucs dans les bras, votre portefeuille dans la troisième main pour le ticket d'autobus et vos gosses au bout du quatrième et du cinquième bras.
Et c'est tout juste si le commerçant ne te demande pas ce que t'attends pour débarrasser le plancher.
Et tout ça pour quoi ? Pour pas faire de chagrin aux ours blancs. J'emmerde les ours blancs, c'est clair ? Si j'en vois un en bas de chez moi, je lui casse la gueule et je l'envoie se faire empapaouter chez les Grecs.
Nous sommes "la cinquième puissance économique du monde" (prétendent les chefs de merde qui nous dirigent), et nous somme obligés de faire comme les peigne-culs soviétiques des années 50, qui ne sortaient jamais de chez eux sans un cabas à la main, pour le cas (très improbable) où ils tomberaient sur un magasin ayant quelque chose à vendre, auquel cas ils se collaient vite fait à la queue pour ne pas rater l'opportunité -- et il fallait, alors, avoir prévu le cabas, parce que vous ne croyez tout de même pas qu'en plus d'accepter de vous vendre de la marchandise, l'Etat communiste allait vous filer des sacs en plastique ?
Eh bien, les néo-communistes qui nous gouvernent touvent ça très bien, l'URSS, et ils veulent nous punir de donner dans le "consumérisme". Vous achetez trop de trucs trop souvent, bande de petits cons inopérants, et ça, ça donne des boutons à la mère Ségolène Royal, qui a des domestiques pour lui faire ses courses, je suppose.
Fini, donc, l'achat d'impulsion, celui qui fait marcher le commerce, celui qui fait vivre, dans les villes, les "pitits commerçants di proximiti" que les mêmes néo-communistes au pouvoir prétendent favoriser -- à coups de fusil. Fini, le petit cadeau qui ne coûte rien et qui lubrifie les relations entre vendeur et acheteur, le sac en plastique fourni sans restrictions ni règlement -- et dont le coût était inclus de toutes façons dans le prix de ce que t'achetais...
Maintenant, quand tu veux t'acheter UNE bricole, il faut que tu prévoies 24 heures à l'avance, il faut avoir un projet-bricole, il faut se donner comme but dans la vie d'acheter une bricole mercredi prochain à 18 h 45 à la bricolerie Sanzot, et par conséquent prévoir de passer à l'avance chez soi chercher LE cabas qui va bien, celui agréé par l'ONU pour pas faire pleurer les oiseaux de mer.
Ou alors, faut que tu prévoies la gueule renfrognée du marchand qui va te dire : c'est dix centimes le sac, ou un franc, ou un pain dans ta gueule, selon l'humeur du jour. Quand il n'a pas mis, devant sa caisse, un écriteau marqué : yapu de sacs, c'est interdit, allez vous faire foutre.
Et ce sont les mêmes trous du cul purulents qui te disent qu'il faut relancer la consommation.
Bien entendu, tout ça est soutenu par des torrents de mensonges déversés par la presse aux ordres, des "statistiques" outrageusement fausses, des photos dramatiques, des oiseaux étouffés, des montagnes de plastique en mer, etc.
J'adore, par exemple, tous les "journalistes" qui écrivent : un sac en plastique met 200 ans à disparaître (par exemple). Ben, en fait, non. Je te fais disparaître un sac en plastique quand je veux.
Sérieusement, un jour, j'ai essayé. J'en avais ras le cul de toute cette propagande écoeurante, et j'ai pris un de ces sacs sataniques fabriqués en Chine par des esclaves fouettés nuit et jour par le baron Rothschild aidé de George W. Bush et de l'extrême-droite israélienne. Puis j'ai frotté une allumette. Eh bien, le sac disparaît en un clin d'oeil. Il ne reste rien. Pas de "micro-billes de plastique", pas de cendres. Rien. Que dalle. Exactement ce qu'il y a dans le crâne de Ségolène Royal.
Et on va nous faire croire que les usines d'incinération géantes dont nous disposons pour éliminer les ordures ne peuvent pas faire disparaître les sacs en plastique ? Mais on se fout de la gueule de qui ?
TOUS les gens que je connais conservaient et réutilisaient les sacs en plastique, quand cette merveille du monde marchand moderne existait encore. Tout le monde les "recyclait", quand le mot n'avait pas encore été inventé, et qu'on n'avait pas un ministère de l'environnement pour nous expliquer comment mettre un pas devant l'autre.
Donc je pose la question : les fameuses montagne de plastique qu'on nous montre pour faire pleurer Margot, elles viennent d'où ? Pas un seul journaliste pour se poser la question. Pas un seul "intellectuel" pour se demander si, par hasard, tous ces fameux sacs en plastique qui se retrouvent dans la mer (alors que, par exemple, quand je jette un lingot d'or à la poubelle, on ne le retrouve jamais dans l'estomac des oiseaux) ne proviendraient pas exclusivement des pays de merde où les gens chient dehors, et où, par conséquent, les ordures se retrouvent elles aussi un peu partout ?
Comment se fait-il que seuls les "sacs en plastique", en France, sautent tout seuls, avec leurs petites pattes, hors de la poubelle où les jettent la plupart des gens, puis courent se jeter dans la mer grâce à leur sens infaillible de l'orientation ? Quelqu'un peut-il m'expliquer ce miracle ?
Bah non, c'est comme d'hab', on nous culpabilise pour les méfaits des "peuples défavorisés du Tiers-Monde", et en plus on doit payer pour leur conneries.
Pendant ce temps-là, portes larges ouvertes à des immigrants qui effectivement, ont des habitudes de salopiots, jettent leurs merdes un peu partout, ce qui fait que les Ségolène Royal et autres malfaisants de cette espèce vont bien finir par avoir raison un jour.
Ils nous mentent, ils nous oppriment, et en plus ça va être notre faute.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 03 juillet 2016 à 17:31
Salut dominique,
Je pense que j'ai été assez clair, ce sont des gros cons, mais vous savez, le bénévolat déguisé, ça existe aussi, je voudrais bien savoir comment ils vivent "vos envoyés spéciaux" au Burkina : ils bouffent de l'attiéké et logent en hutte sans eau courante, se lavent dans la rivière à poil ou alors ils se pavanent dans les hôtels de luxe ?
dans le premier cas ce sont des gros cons et dans le second, ce ne sont pas des bénévoles. CQFD
Rédigé par : Bernard | 03 juillet 2016 à 20:49
Bon, on ne peut pas dire à mon sens que ce soit la meilleure de Léo, mais bon
Je ne suis pas du tout ok avec vous , cher GG, c'est pas le plastique qu'il faut éliminer, c'est 4 milliards d'humains qui sont en surnombre sur cette pauvre planète, de toutes manières Gaïa le fera un jour ou l'autre, là on ne fait que reculer pour mieux sauter (chic)
Et ALLEZ LES VIKINGS !!! bon match à tous
Rédigé par : Bernard | 03 juillet 2016 à 20:57
Je rejoins Robert Marchenoir à presque 100 % et d'un point de vue chimique les sacs plastiques sont des produits naturele (C-O-H et parfois Cl) donc effectivement entièrement dégradables si on les chauffe.
Si on les laisse traîner partout, c'est pas mon problème, on met bien des amendes pour les crottes de hiench alors pourquoi pas ceux qui jettent ler sac en plastique, au lieu d'emmerder tout le monde !
Rédigé par : Bernard | 04 juillet 2016 à 10:25
Bonjour Roland !
Con j'veux bien, mais gros j'vois pas ...
Et je pense souvent que bénévole = benêt volé !
Et ce que je constate au Burkina-Faso au niveau des "humanitaires", ONG et ONUsismes me renforce dans mon idée.
Pire encore les bénévoles oeuvrant lors des grandes compétitions sportives brassant un pacson de pèze !
Rédigé par : Dominique | 04 juillet 2016 à 11:09
hahahaha , vous avez beaucoup d'esprit, Marchenoir, mais çà ne m'empêchera de n'avoir qu'un amour très modéré pour ces saloperies de "sacs de caisse"...perso, je m'en passe parfaitement, depuis des années...
Rédigé par : vu de sirius | 04 juillet 2016 à 13:46
@Dominique
Il y a une légère confusion sur le prénom, je crois que c'est Bernard qui a parlé de gros cons bénévoles !
Une confusion, le manque de Fischer est-il en train de faire son effet ?
Rédigé par : Roland | 04 juillet 2016 à 14:47
Mais mon cher Sirius, moi je suis pour la liberté. Ceux qui n'aiment pas les sacs de caisse sont libres de faire la grève du sac, mais ceux qui aiment ça, commerçants et clients, devraient être libres de les utiliser si ça leur chante !
Je suis bien aise de constater que GG confirme mon pressentiment, à savoir que ce sont plutôt les "Autres" qui étouffent les petits zoziaux avec leurs cruels sacs en plastique chinois.
Je constate aussi que les journalistes ne répondent jamais aux questions essentielles qui nous taraudent l'existence. Ils commencent par nous dire que les sakanplastic seront interdits, forbidden, verboten, mais ils ajoutent que l'Etat mettra en circulation des sacs communistes qui inversent la courbe du chômage, des sacs à patates, ou plus exactement des sacs faits avec des patates.
Mais ils ne nous disent pas l'essentiel, à savoir si ces sacs biodégradables seront gratuits, payants, grands, petits, résistants, si on pourra vraiment transporter des trucs avec ou s'ils tomberont en loques dès lors qu'on mettra dedans quelque chose de plus lourd que le cerveau de Ségolène Royal.
Et puis les médias nous laissent entendre qu'afin de respecter la "COP 21", les poissonniers nous lanceront les poissons par-dessus le comptoir, à charge pour nous de les trimballer dans nos poches, alors qu'aujourd'hui un poissonnier digne de ce nom vous emballe la marchandise dans trois contenants successifs afin que vous n'en mettiez pas partout.
Pareil chez le boucher, qui fera des concours de lancer de saucisses, et ainsi de suite. Je suis inquiet pour les clients du marchand de bières, qui fera des concours de lancer de packs de 24.
J'adore aussi les médias qui nous disent que les sacs de moins de 50 micromètres d'épaisseur seront bannis ; c'est sûr que quand je vais faire mes courses, j'emporte mon micromètre industriel afin de vérifier si le commerçant ne me truande pas.
Pour ceux qui s'intéressent vraiment au sort de la planète, les journalistes n'enquêtent jamais sur le vrai sujet lorsqu'il est question de sakanplastic, à savoir : que deviennent réellement nos ordures ? Chez nous, en France, en pays civilisé ?
Je lis de temps à autre qu'une part appréciable d'entre elles se retrouve dans des décharges (officielles, hein, il ne s'agit pas de gens qui violent la loi...), au lieu d'être brûlées.
Et pourquoi donc ? Comment se fait-il "qu'en France, en 2016", comme disent les gauchistes, on enterre encore des ordures comme le faisait l'homme de Néandertal, alors qu'on dispose de toutes les techniques nécessaires pour les brûler proprement et filtrer les fumées sans faire de peine aux oiseaux ?
Voilà le vrai scandale, me semble-t-il. Evidemment, comme sa résolution obligerait les éminences qui nous gouvernent à se bouger le cul, il leur est plus facile de nous faire la leçon, de nous culpabiliser et de nous casser les pieds en faisant une "grande loi" pour interdire les sakanplastic.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 juillet 2016 à 16:02
OTAN pour moi quant à la confusion entre Bernard et Roland pour mon commentaire précédent !
Ce qui m'amuse dans cette polémique relative aux sacs plastiques voués aux gémonies c'est que lorsque nos élites politiques et/ou scientifiques annoncent plusieurs siècles pour qu'ils disparaissent, c'est de savoir sur quels tests s'appuient-ils puisque cette matière n'existe que depuis moins d'un siècle ?
Donc des extrapolations, des supputations ... (ce qui certes n'en atténue pas la problématique)
Cher Patron !
Si mes émoluments ou mon "package professionnel" me permettaient de t'envoyer des photos, la scène que tu décris au Royaume Chérifien je la vois aussi chaque jour en Haute-Volta ...
Aggravée du fait de l'omniprésence des sachets d'eau à boire.
Et pour conclure, le temps des copains c'était le temps des vinyles !...
Rédigé par : Dominique | 04 juillet 2016 à 18:05
Trop marrant votre post, Monsieur Marchenoir et je ne peux que vous en remercier du fait de mon principe : "un rire chaque jour prolonge la vie", de même que les salauds d'anglais qui ont quitté l'europe disent "une bière tous les jours éloigne le docteur" (bon traduction très aproximiative, je le concède).
Disons que je suis ok avec vous à 95% (pas mal pour un résultat éléctoral).
Ce n'est pas trop non plus que je suis pour la promotion des sakemplastic, c vrai c pas bô, mais ségo l'haine bitale (oui elle a bien aimé la bite de flanby qui le lui rends (vomitif) bien joue sur la cinquième décimale du problème... posez vous juste la question de l'effet sur la nature si seuls les gros cons de merde de francos sont obligés de ne plus utiliser des sakemplastic... 0, 000001% et encore ! Mais bon, si ça peut faire bander les écolos ... bon on sait qu'ils bandent suivez le regard de Baupin.
Pour en revnir à Dominique, que pensez vous de la stérilisation globale et massive de tous les Burkinabé.es ?? au moins ça serait une action efficace de ces cons de bénévoles, mais bon, ils préfèrent sûrement niquer les petites filles de moins de dix ans et même éventuellement le féconder pour qu'elles donnent naissance à leur premier gamin vers 9 ou 10 ans... alors là c'est effectivement du bénévolat : "je donne mon sperme" je fais une action de grâce et je me tourne vers le Seigneur après avoir éjaculé..
Décidément, tout va bien ici
Rédigé par : Bernard | 04 juillet 2016 à 18:06
Pour répondre à Dominique (une fois de plus)
lorsque CCFD "terre solidaire" me spammait pour que je fasse un don, je leur ai répondu que je voulais bien leur envoyer un "VERS SOLLITAIRE" pour qu'ils crêvent de faim plus rapidement et en leur expliquant pourquoi sur deux pages de texte !
Bizarre, depuis je ne reçois plus rien de leur part.. peut-être plus efficace que de contacter la CNIL, qui est par ailleurs, comme la plupart des services de l'ETAT -s'il existe encore- parfaitement inefficace... et lorsque je pense au montant de leur paye, je m'incline ils ont tout compris :)
Rédigé par : Bernard | 04 juillet 2016 à 18:18
Sirius ? Un pseudonyme ad'hoc ...
Rédigé par : Dominique | 04 juillet 2016 à 19:11
Et Plastic Bertrand, alors personne ne pense à lui ?
Ni au SAC si cher à Môssieur Charles ?
Rédigé par : Dominique | 04 juillet 2016 à 19:42
Quels que soient le degré de pollution, d'infraction aux lois et réglementations, ou de nuisances dûment constatées, ce sont toujours les plus solvables qui paient le plus.
Et pour faire avaler la pilule, vous enroberez votre ponction de justifications morales, d'arbitraire dictatorial ou de nécessités économiques, selon la peuplade à votre disposition.
Certains trouvent ça "normal", d'autres, non.
On en est là...
Rédigé par : Arthourr | 04 juillet 2016 à 22:03
Raaaaaahhh le coup des saucisses et des poissons... Une tranche de rigolade au lever du lit... et les packs de bibine en sus... Merci !
Rédigé par : Saur | 05 juillet 2016 à 08:43
Les sacs en plastique ne suffisent pas. Toujours plus fort, toujours plus con, toujours à chercher des idées pour casser les pieds le plus possible à leurs contemporains :
Paris : le périphérique pourrait être ouvert aux piétons et aux vélos
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/07/05/01016-20160705ARTFIG00091-paris-le-peripherique-pourrait-etre-ouvert-aux-pietons-et-aux-velos.php
Les commentaires sont à 100 % négatifs. Il n'y a pas un lecteur qui approuve. Enfin pour ceux que j'ai lus ; il y en a trop...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 05 juillet 2016 à 17:33
Le polyéthylène disparaît complètement quand on le fait brûler, vu qu'il n'est constitué que de carbone et d'hydrogène. Mais c'est pas le cas du PVC, polychlorure de vinyle, qui contient du chlore. Je sais pas l'équation précise, mais la combustion dégage des composés chlorés, ou tout bêtement du chlore. C'est toxique et corrosif (notamment pour les incinérateurs).
Rédigé par : passant | 06 juillet 2016 à 15:23