Jacques Chirac savait pertinemment de quoi il parlait, puisqu'il porte la co-responsabilité (avec Giscard président) d'avoir mis en place la mesure funeste du "regroupement familial" quand il était premier ministre en 1976 (décret du 29 avril 1976). Aucun autre président ensuite n'est revenu en arrière... y compris Chirac entre 1995 et 2007 ! Par conséquent, c'est vrai, "on va vers de graves conflits raciaux", nous savons à cause de qui : Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron. Sur ces six responsables, quatre sont encore en vie et pourraient s'expliquer sur leur entêtement à pousser la France vers le communautarisme, puis le chaos.
Noter que jamais depuis une quarantaine d'années les Français n'ont été consultés sur ce phénomène qui risque de transformer fondamentalement la France, sa culture, sa civilisation au cours du XXIe siècle : l'immigration. Et ce sujet n'a été abordé de façon claire et volontariste que par des candidats... jamais élus.
Se rappeler que le candidat Hollande ne se reconnaissait qu'un seul adversaire : la finance (auquel il s'est empressé de ne surtout pas s'attaquer en cinq années de présidence).
LA CITATION COMPLÈTE :
« Plus on aura d’immigration, plus on aura d’insécurité. Ce n’est pas une question ethnique mais notre immigration est une immigration bas de gamme. On va vers de graves conflits raciaux qui seront la conséquence du refus des Français d’être envahis par d’autres cultures. Toute race a l’instinct de se préserver. »
Jacques Chirac, Le Nouvel Obs, décembre 1990
"Toute race" ? Parole de super-menteur : les races n'existent pas, c'est devenu officiel. Mais le racisme existe... va comprendre, Charles !