Le blog d'un grincheux grave

Jusqu'où peut mener la paresse...

Quelle pétulance !

J'ai entendu, comme tout le monde depuis l'annonce de son décès, cette anecdote illustrant le sens d'humour de la Reine Elizabeth II : un jour qu'elle se promenait à Balmoral en compagnie d'un gardien, deux touristes américains s'adressèrent à elle en lui demandant si elle habitait en ce lieu et par conséquent voyait parfois la reine d'Angleterre.

 

« je passe mes vacances ici depuis longtemps mais je ne l'ai jamais vue... cependant ce monsieur-là (montrant le gardien) la voit tous les jours. »

Les deux Américains (quels ballots, ces Américains !) prièrent la dame (la reine) de bien vouloir les prendre en photo, ce qu'elle fit, puis photographièrent la dame seule, puis le gardien. Quand ils se furent éloignés, la reine dit à son gardien : « Je voudrais bien être une petite souris pour être présente discrètement quand ces gens montreront les photos à leurs amis ! »

Tout ce long rappel pour amener le récit d'une autre anecdote, dont hélas j'ai été incapable de vérifier l'authenticité.

 

Le jour où la jeune reine reçut le Général de Gaulle à Londres (ayant voyagé par le train, maudits footballeurs du PSG prenez-en de la graine) ils parcoururent la capitale à bord d'un carrosse. La foule au bord des artères lançait des acclamations, mais ces salutations enthousiastes ne purent couvrir le bruit d'un énorme pet lâché par un des chevaux de l'attelage.

 

« Pardonnez, général, je suis confuse... », glissa la reine au général.

« Je vous en prie, majesté, répondit le Grand Charles, j'avais cru que cela provenait d'un cheval ! »

« Allègement des restrictions sanitaires » : c'est fou !

Toutes ces annonces "sanitaires" (allant dans le sens de l'allègement) faites jeudi 20/01 par l'irrésistible duo Castex-Véran me rappellent cette antique "histoire de fou" qui circulait dans la cour de l'école élémentaire Carnot à Lens lorsque je fréquentais ce magnifique établissement :

 

Un fou se tape la tête avec un gros livre.

Un autre fou passe par là et lui demande :

- Mais pourquoi tu fais cela ?

- Parce que quand j’arrête ça me fait du bien !

 

Les gens, vous êtes un peu cons, non ? Le gouvernement vous colle des séries de restrictions qui font mal puis, quand il vous les élimine une à une, vous poussez des soupirs de soulagement et vous le remerciez pour sa bonté. C'est ainsi que la plupart des journaux titrent à peu près comme "Le Parisien" le lendemain matin :

 

« ALLÈGEMENT DES RESTRICTIONS »

 

« Vous allez re-vivre normalement », vous susurrent-ils. Comprenez : désormais, à partir de lundi 24/01, vivre sous Passe Vaccinal. Vous êtes contents, les gens ? Heureux en Macronistan ?

 

HISTOIRES DE FOUS

A propos de cette histoire du fou qui se fait mal pour que ça fasse du bien quand il arrête, me permettez-vous de déplorer (c'était mieux avant) que les HISTOIRES DE FOUS soient passées de mode ? Presque toutes étaient courtes, simples, pas cochonnes ; dans les rassemblements entre copains au cours des décennies cinquante et soixante, elles permettaient de se parler et rire ensemble, en attendant qu'un demi-siècle plus tard cette convivialité bon-enfant laisse place à la consultation individuelle frénétique d'un écran de smartphone.

 

Quelques échantillons :

- C'est un fou qui repeint son plafond, un autre fou arrive et lui dit : - Accroche-toi au pinceau, j'enlève l'échelle.

- Deux fous marchent dans la rue ; un des deux prend une déjection canine dans sa main et dit à son pote : - Regarde dans quoi j'allais marcher !

- Un homme à longue barbe blanche consulte un psychiatre. Le médecin l'accueille :

- Je ne connais pas encore vos problèmes, alors commencez par le commencement !

- Au commencement, je créai le ciel et la terre…

- Un fou tourne autour d'une bouche d'égout ouverte, en répétant :

- 33... 33... 33...

Un passant lui demande : - Pourquoi faites-vous cela ?

Le fou pousse l'homme dans la bouche d'égout, et dit : - 34... 34... 34...

- Allô la police ? Y'a un fou qui s'est échappé !

- Vous pouvez le décrire ?

- Il est chauve avec les cheveux en bataille !

- On ne peut pas être chauve avec les cheveux en bataille, monsieur !

- Puisque je vous dis qu'il est fou !

C'est Castex qui vous le dit

Les surprises du PASSE VACCINAL

Mais si !

Marcel à la recherche de l'orgasme

MON AMI MARCEL M'A RACONTE AVANT-HIER UNE ALTERCATION ENTRE LUI ET SA FEMME.

La différence entre les besoins sexuels d'un homme et les désirs d'une femme m'a toujours sidéré (commença par me dire Marcel).

Au lit, l'autre soir avec ma femme, la température montait rapidement.

Au moment de passer aux choses sérieuses, elle m'arrêta et me dit :

 

"Non, mon amour, je ne me sens pas bien..."

Puis elle ajouta :

"Je n'ai pas spécialement envie, je voudrais juste que tu me tiennes dans tes bras.Tu n'es pas assez en phase avec mes besoins émotionnels de femme pour que j'aie envie de satisfaire tes besoins sexuels d'homme !"

À mon regard ébahi, elle enchaîna :

"Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je fais pour toi au lit."

 

Comprenant que rien ne se passerait ce soir-là, je n'insistai pas et je m'endormis.

Quelque temps après, comme j'avais des congés à récupérer, je décidai de passer une belle journée avec elle.

Après un déjeuner dans un petit restaurant sympa, je l'emmenai dans un grand magasin de mode où je l'invitai à essayer divers vêtements sous mon regard intéressé.

 

Pendant un long moment, elle essaya tout ce qui tombait sous ses yeux et parada devant moi comme une star.

 

Finalement, deux robes retinrent spécialement son attention. Comme elle ne savait pas se décider, je lui laissai entendre qu'elle prendrait bien les deux. À l'étage suivant se trouvait le rayon des chaussures. Une paire neuve par robe semblait indispensable.

Une jolie paire de boucles d'oreilles lui faisait de l'œil, hop, dans le panier! Croyez-moi, ses yeux brillaient de plus en plus !

Je la connais, je voyais monter en elle une forme d'excitation indescriptible.

 

Elle voulut même me tester, voir jusqu'où j'irais, car elle s'intéressa aux bracelets de style tennis.... Je répondis oui.

Puis il y eut quelques paires de bas, de la lingerie, un foulard, les rayons parfum et maquillage et quelques bricoles.

Finalement, elle me regarda avec des yeux pétillants comme du champagne et dit :

 

"Ça va être cher tout ça, on passe à la caisse ?"

Je répondis : "Non, mon amour, je ne me sens pas bien...."

Son visage se figea d'étonnement et sa bouche resta béante.

Je lui dis alors :

 

"Je n'ai pas spécialement envie, je voulais simplement te voir habillée ainsi. Tu n'es pas assez en phase avec mes capacités financières d'homme pour que je puisse satisfaire tes désirs d'achats de femme."

Et comme elle me regardait avec des yeux assassins, j'ajoutai :

 

"Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je t'achète !"

À défaut d’orgasme, bon sang, que ça m’a fait du bien !

 

Voilà ce que Marcel m'a raconté l'autre jour.

Le corps de Marcel sera exposé samedi prochain au salon funéraire de son lieu de résidence.

Une semaine en enfer

Un type se réveille en Enfer et tire légèrement la gueule.

Satan passe par là, l'interpelle :

- Salut toi ! Pourquoi fais-tu la gueule ?

- Eh bien, premièrement je suis mort et deuxièmement je suis en Enfer. Pas de quoi se réjouir.

- Bof, tu sais, c'est pas mal ici-bas... tu fumes ?

- Quelle question, bien sûr !

- Alors tu vas aimer les lundis : toute la journée on fume des cigares, des clopes
sans devoir se soucier du cancer... on est déjà mort !

- Ouais, pas mal.

- Tu bois ?

- Bien sûr, comme un trou...

- Alors tu vas aimer les mardis car pendant toute la journée on picole du pinard, de la gnole, de la bière ... puis on vomit et on continue à boire sans se soucier de la cirrhose... On est déjà mort !

- Ah, pas mal le début de la semaine ...

- Tu aimes la bouffe ?

- Comme un porc !

- Alors tu vas te régaler les mercredis, toute la journée on s'empiffre de gras, de desserts, de viandes, de camembert au lait cru sans se soucier du cholestérol... on est déjà mort !

- Aaah, de mieux en mieux !

- Tu te drogues ?

- Régulièrement !

- Alors les jeudis c'est pour toi, on a tout ici : herbe, poudre, seringues, on se pique sans se soucier d'une surdose... on est déjà mort !

- Ouaiiis, super l'endroit, je ne croyais pas que c'était si cool en enfer !

- Tu baises ?

- Oh oui ! un max...

- Les vendredis on tire dans tous les coins, des jeunes, des vieilles dans toutes les positions, tout est permis et on ne risque pas d'attraper des saloperies, on est déjà mort...

- Putain, c'est trop super l'enfer !

- Es-tu gay ?

- Ah non !

- Ouuuulala ! tu ne vas pas aimer les samedis !

La raie de l'Union européenne

Un Doliprane

- Nicole, tu sais pas où je pourrais acheter un cachet de Doliprane ?
- Mais, Christophe, ça ne se vend qu’en boîte !
- P'tain, que j'suis con, j’en sors ...!

Hou Hou Houuu !

Le grand débat, le grand soutif

Bien évidemment c'est une INFOX, une blague.

Mais pourquoi pas ? Avec le gouvernement actuel de type "nouveau monde" tout devient possible !

Gros seins et petite cervelle, le duo gagnant. Nabilla : "J'ai une forte poitrine, il y a tout qui déborde". Aurore Bergé : « Nous pouvons légitimement demander un effort générationnel à celles et ceux à qui on paye les retraites, parce qu’ils en ont la capacité. »

Qui se souvient que jadis (1960-66) il y eut à la télévision un jeu appelé "La tête et les jambes" animé par Pierre Bellemare ? Un concurrent (la tête) tentait de répondre à des questions sur un thème donné (cinéma...). S'il échouait, un associé (les jambes) essayait de rattraper son échec par un exploit sportif. Le futur premier ministre Laurent Fabius fut candidat à la fois tête et jambes dans un jeu similaire qui lui succéda, en 1970 (ses "jambes" étaient l'équitation). Nabilla et Bergé m'y font penser... Ils osent tout, c'est même à ça... etc.

Il faut s'habituer

Subtilités de la langue française

Radis

Bien dit !

Ah nostalgie...

ça me rappelle Mai-68 ("sous les pavés, la plage"... "il est interdit d'interdire"), mais les Grands Rebelles de Mai-68 sont devenus des bourgeois repus, rangés au côté de Macron, "le président des riches" : Daniel Cohn-Bendit, Romain Goupil...

L'hiver indien

C'est l'automne, les jours raccourcissent, le fond de l'air devient de plus en plus frais, l'été indien est passé. Un bûcheron canadien décide de couper du bois pour faire des réserves.
Mais combien en faut-il ? Combien de temps va durer l'hiver rigoureux qui semble s'annoncer ? Il l'ignore. Il scie, il coupe, il fend, sous le regard impassible de son voisin, un vieil indien Huron.
Au bout d'un moment, le tas est déjà gros, il décide de consulter le vieil Indien qui semble la sagesse personnifiée :
- Qu'en penses-tu ? Faut-il couper encore beaucoup de bois ?
- Hiver rude, très rude…, grommelle le vieil Indien.
Le bûcheron se remet au travail : il scie, il fend, il coupe pendant des jours. Les tas s'accumulent, sous les yeux du vieil homme immobile.
Il décide d'aller le consulter à nouveau :
- Est-ce suffisant ?
- Hiver rude, très rude…, soupire l'Indien.
Le bûcheron repart d'arrache-pied pour une nouvelle séance de coupe. Il abat une bonne partie de la petite forêt entourant sa maison.
Épuisè, il consulte une dernière fois son voisin.
- C'est assez, n'est-ce pas ?
- Hiver rude, très rude… dit le vieil Indien.
- Mais comment le sais-tu, bon sang ? s'énerve le bûcheron.
- Quand Vieil Indien voir Homme Blanc couper beaucoup de bois, Vieil Indien comprendre hiver rude, très rude…

Une blonde pour Montréal

Lors d'un vol pour Montréal, Quelques minutes après le décollage, une blonde assise dans la classe économique se lève et se dirige vers la première classe et y prend place.
L'agent de bord la voit faire et décide de lui demander de voir son billet.
Alors il explique à la blonde qu'elle a payé pour une place en classe économique et qu'elle ne peut s'assoir en première classe, qu'elle doit donc retourner en classe économique.
La blonde lui répond :
" Je suis blonde, je suis belle, je vais à Montréal et je reste assise ici ! "
L'agent de bord va dans la cabine de pilotage et explique au pilote et au co-pilote qu'il y a une blonde assise dans la première classe qui a payé pour la classe économique et qui refuse de retourner dans la classe économique.
Le co-pilote va voir la blonde et tente de lui expliquer que puisqu'elle a payé uniquement pour un billet en classe économique elle doit retourner en classe économique.
La blonde lui répond :
" Je suis blonde, je suis belle, je vais à Montréal et je reste assise ici ! "
Le co-pilote dit au pilote qu'ils doivent contacter la police pour arrêter la blonde lors de l'atterrissage car elle refuse de retourner en classe économique.
Le pilote demande au co-pilote : " Vous avez bien dit qu'elle est blonde ? Je vais régler le problème, car je suis marié à une blonde, je parle le langage des blondes. "
Le pilote se rend auprès de la blonde et lui parle à l'oreille.
La blonde lui dit :
"Oh je suis désolée !" et elle se lève et retourne à son siège en classe économique.
L'agent de bord et le co-pilote sont étonnés et demandent au pilote qu'est-ce qu'il lui a dit pour qu'elle accepte de retourner en classe économique sans faire de chichi.
" Je lui ai dit : La première classe ne va pas à Montréal”

Une baguette bien cuite

WIKIPEDIA -- La baguette de pain ou simplement baguette, aussi appelée baguette de Paris, ou encore pain français (canadianisme et belgicisme), mais aussi pain baguette est une variété de pain, reconnaissable à sa forme allongée. Cette forme de pain est emblématique de la France. Quelle est son origine ? L'ingénieur Fulgence Bienvenüe, qui supervisa la construction du métro, avait des soucis de bagarres dans les galeries entre les ouvriers de différentes origines (notamment Bretons, Auvergnats…).

Or, à cette époque, l'ouvrier portait toujours un couteau sur lui, pour couper les tranches des pains, qui étaient de grosses miches rondes. Aussi, il aurait été demandé à un boulanger de créer un pain de forme allongée (pour respecter le poids réglementé d’un pain), qui puisse se couper, se rompre sans couteau, évitant ainsi que ces armes potentielles descendent dans les galeries. D'où, pour certains puristes, le fait de ne jamais couper la baguette au couteau, mais de la rompre à la main. Ainsi aurait été créée la baguette à la fin du XIXe siècle…

Cette version reste la plus étayée au vu des divers documents issus du chantier des métros.-- WIKIPEDIA

Il est vrai que "dans le temps" chaque homme portait en poche un couteau, que ce soit pour trancher le pain ou pour sculpter un morceau de bois. J'ai connu cette "époque" quand, à l'âge de sept ou huit ans je me suis trouvé à séjourner dans une ferme chez des cousins de mon père au cœur du Limousin, près de Bellac. Au premier repas de midi, tous les hommes (une demi-douzaine, y compris les journaliers de l'exploitation, et moi) se sont assis autour de l'épaisse et longue table en bois et ont sorti et ouvert, comme d'un seul geste synchronisé (m'a-t-il semblé), le couteau qu'ils avaient en poche.

J'étais béat d'admiration, mais isolé dans ma position d'enfant. Quelqu'un a dit : "Faudra donner un couteau au gamin pour qu'il mange avec nous". L'après-midi même j'avais mon premier Opinel et nous en avons profité pour faire prendre mes mesures chez le sabotier du village afin de me chausser comme les hommes. Je possède encore ces petits sabots. J'ajoute que lors du repas mentionné plus haut (et les suivants) les femmes n'étaient pas absentes du tableau, simplement elles se tenaient debout entre la tablée et les fourneaux, elles avaient préparé les plats, elles assuraient le service, et elles déjeuneraient après les hommes. On savait vivre "en ce temps-là"... Tiens, je ne serais pas en train de m'islamiser, moi ?

Les gens bons de Bayonne

Un fidèle lecteur nommé Jean B. (Jean Bon ?) m'envoie cette image accompagnée de ce commentaire :

Ah ! ils sont bons, les gens de Bayonne !
D'ailleurs, on les appelle les gens bons de Bayonne.
D​ans le cadre de la lutte anti-terroriste, des portiques de sécurité viennent d'être installés récemment à l'entrée des grandes surfaces du Pays Basque.

Oui on dira que c'est islamophobe ! Deux explications à cela : 1- "Phobe" signifie "peur" (et non "haine") - 2- Des  statistiques sérieuses indiquent que, sauf exceptions rares comme l'attaque à la voiture bélier de Sept-Sorts, les attentats en France proviennent d'individus de confession musulmane, d'une part, et sont commis au nom de l'islam, d'autre part. Il faudra s'attendre à des blagues bouddhistophobes aussitôt que des adeptes de cette religion se livreront à des assassinats au nom du bouddhisme sur notre territoire.

Pas faux !

Dans notre rubrique "Blagues de Blog", aujourd'hui...

Conte de Noël 2016

Il était une fois à Bergues (Nord) un homme qui travaillait au Bureau de Poste.

Son travail consistait à traiter le courrier dont les adresses étaient mal libellées ou inexistantes. Un jour, il eut à traiter une lettre adressée d'une main tremblante à Dieu. Comme il ne pouvait pas la traiter, il pensa trouver une adresse de retour à l'intérieur.
Il l'ouvrit et lut :

« Cher Dieu,
Je suis une vieille veuve de 93 ans, qui vit sur une très petite pension. Hier quelqu'un m'a volé ma sacoche. Il y avait 100 euros à l'intérieur, c'était le seul argent qui me restait jusqu'à mon prochain chèque de pension. Mercredi prochain, ce sera Noël, et j'avais invité deux de mes vieux amis à souper. Sans argent, je suis maintenant incapable d'acheter de la nourriture pour les recevoir. Je n'ai pas de famille qui puisse m'aider, vous êtes maintenant mon seul espoir.
S'il vous plaît pourriez-vous me venir en aide ?
Sincèrement, »
Léopoldine Debusschère
66 rue Neuve des Capucins - Apt 2
59380 Bergues

Le travailleur postal fut très touché. Il montra la lettre à ses collègues du Bureau de Poste.
Chacun d'entre eux mit la main à la poche et donna quelques euros. Après avoir fait la tournée du bureau, il avait amassé 96 euros. Fier de son coup, il en mit le contenu dans une enveloppe et la fit livrer à l'adresse de la vieille dame. Pour le reste de la journée, tous les employés ressentaient un bien être intérieur d'avoir contribué à un beau geste de générosité.
Noël vint à passer et, quelques jours plus tard, une autre lettre apparut, adressée à Dieu, encore écrite par la vieille.
Tous les employés s'attroupèrent autour de l'homme alors qu'il ouvrait la lettre.
Il était écrit :

"Cher Dieu,
Comment pourrais-je Vous remercier pour tout ce que Vous avez fait pour moi ? Grâce à votre geste de générosité et d'amour j'ai pu recevoir dignement mes deux amis en leur préparant un magnifique repas de Noël. Ce fut une très belle journée et j'ai avoué à mes amis que si la chose a été rendue possible, c'est grâce à Vous et au beau cadeau que Vous m'avez fait. Au fait, il manquait 4 euros sur le montant.
J'ai bien peur qu'ils aient été volés par ces enculés du Bureau de Poste."

Droit dans ses bottes

L'expression "être droit dans ses bottes" est ancienne. Elle fut remise au goût du jour par un certain Alain Juppé (qui reste "le meilleur d'entre nous pour encore 24 heures) : le 6 juillet 1995 lorsqu'il déclare "Je suis droit dans mes bottes, je ferai mon travail" alors qu'il est interrogé sur TF1 à propos de son appartement parisien au loyer défiant toute concurrence et de la baisse de loyer qu'il avait demandée pour l'appartement de son fils. Je rappelle cela sans méchanceté ni calcul politicien derrière la tête, exactement comme Alain Juppé a passé les trois premiers jours de cette semaine du 21 novembre à lâcher dans les micros des sous-entendus désobligeants à l'égard de son concurrent François Fillon.

Voici une histoire de bottes, l'histoire, que l'on m'affirme être vraie, d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde.

Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller en récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler.
Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
- "Elles sont à l'envers, maîtresse".
La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds... Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds
Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
- "C'est pas mes bottes".
A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant...
Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.
Elle dit alors :
- "Bon, allez, on les enlève" et elle se met à nouveau au boulot.
Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
- "C'est pas mes bottes, c'est celles de mon grand frère, mais maman a dit que je dois les mettre".
Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes.
L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi.
Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
- "Où sont tes gants ?"
Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
- "Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes."

Irma Core i7

Trump, Merkel et Hollande sont devant une machine hyper sophistiquée qui prédit l'avenir, nommée Irma Core i7...
Trump se met devant la machine et demande :
- Que seront les USA dans 100 ans
La machine écrit : "Ce sera le pays le plus riche, Zéro pollution, Zéro chômage"
Merkel se met devant la machine et demande :
- Que sera l'Allemagne dans 100 ans ?
La machine écrit : "Ce sera le pays le plus productif et écologique : le phare de l'Europe"
Hollande à son tour se met devant la machine à reconnaissance vocale et demande :
- Que sera la France dans 100 ans ?
Il regarde la machine pendant plusieurs minutes, les yeux écarquillés.
Trump l'interroge :
- Alors, qu'est ce que tu lis ?
Hollande :
- Je ne peux pas lire, c'est écrit en arabe !....

Pour déjouer la prédiction, je vote Fillon (surtout pas Juppé)

Sans blague ?

Coup de théâtre

L'autre samedi avec ma femme Janine nous sommes allés au théâtre.
Par mesure de sécurité, nous avions laissé quelques lampes allumées, branché le répondeur, couvert la cage du canari et sorti la chatte.
Nous avons appelé un taxi et nous sommes sortis dès son arrivée.
Mais au moment de fermer la porte, la chatte en a profité pour se précipiter à l'intérieur de la maison. Si vous êtes hébergé par l'un de ces félins filous, vous savez combien ils sont habiles à cette manœuvre.
Pas question de la laisser seule à l'intérieur pendant notre absence si nous ne voulons pas trouver des catastrophes à notre retour. C'est une chatte qui n'apprécie pas la solitude, elle se venge quand elle se sent abandonnée.
Ma femme Janine alla donc s'asseoir dans le taxi pendant que je retournai sur mes pas récupérer la chatte. Elle fila dans les escaliers à ma vue et je me mis à sa poursuite.
Ma femme est une futée (dit-elle) et d'un tempérament méfiant. Comme elle ne voulait pas que le chauffeur comprenne que la maison serait vide cette soirée, elle dit à cet automédon :
- "Il est vite monté dire bonsoir à ma mère..."       
Quelques minutes plus tard, je l'ai rejointe dans le taxi et je lui ai raconté mon action héroïque pour justifier mon absence assez longue :  
- "Désolé d'avoir mis tellement de temps mais cette pouffiasse s'était cachée sous le lit. J'ai dû l'en déloger à l'aide d'un balai. Elle a voulu s'échapper mais je l'ai attrapée par la peau du cou. Je l'ai recouverte d'une couverture pour l'empêcher de me griffer. Elle n'a pas cessé de gueuler pendant que je descendais mais j'ai réussi à la balancer dans le jardin ! J'espère qu'elle ne va pas encore pisser sur mes légumes !"
Le conducteur s'est retourné et m'a regardé d'un drôle d'air. Sur le coup je n'ai pas compris le motif de sa stupeur. Ma femme Janine semblait d'ailleurs tout aussi ébahie. Qu'est-ce qu'ils avaient, tous les deux ?

"Vous dormirez une heure de plus"

Eun' question qu'in s'pose tous les six mos, ché l'cangemint d'heure, comme on dit dans les Hauts-de-France, au pays des Ch'tis. Dans la vidéo, deux gars du nord bien patoisants expliquent le problème et donnent la solution. Les speakers de la TSF vous annonceront samedi toute la journée, tout joyeux de leur effet, que le lendemain dimanche "vous dormirez une heure de plus". Ce sera un mensonge pour la plupart d'entre nous (j'exclus les curés, les commerçants du marché...), puisque dimanche matin, comme tous les dimanches d'avant, vous vous réveillerez à votre guise à l'heure qui sera la vôtre et qui à coup sûr ne sera pas une heure plus tard, mais juste l'heure où ça vous prendra de vous réveiller. Suis-je clair ? La même arnaque se produit en sens inverse chaque année un certain dimanche de mars. Et on laisse faire ! C'est à des choses comme celle-là que l'on mesure que ce pays est foutu.

In va décoder sec .. !! L'cangemint d'heure.. par charemi

Prenez la queue comme tout le monde

Un jeune parisien à la recherche d’un travail voit cette annonce :
 " Gynécologue cherche préparateur - Poste à pourvoir en Région parisienne "
L'annonce ne précisant pas la nature du travail proposé, il téléphone et on lui répond :
 " Il s'agit de préparer la patiente avant qu'elle n'entre dans le cabinet du gynécologue. Il faut l'aider à retirer ses vêtements, sous-vêtements et lui faire enfiler la blouse d'examen.
Ensuite il faut lui faire la toilette, la raser, et lui passer une mousse adoucissante.
Le salaire mensuel est de 5 000 € brut. Si vous êtes intéressé, vous devez remplir un dossier, puis aller à Lyon avec votre dossier..."
- A Lyon ? Mais j'ai vu cette annonce dans les offres d'emploi pour Paris ?
- C'est exact, mais la file d'attente commence à Lyon.

Padamalgam !

Cette affiche n'a été apposée que sur un magasin Décathlon, celui d'Ajaccio. Cette allusion - d'une Kolossale finesse - au thème de la migration qui préoccupe tant de Français (j'y inclus hardiment les habitants de Corse) a fait réagir, et Décathlon a vite retiré (je veux dire : enlevé, ôté) la chose avec ce billet d'excuses :

Bonjour à tous,
Non, ce n’était pas de l’humour, plutôt une communication très maladroite. Pour information, cette affiche était visible uniquement sur notre magasin d’Ajaccio. Elle a ensuite été détournée sur plusieurs sites web et pages Facebook. Afin d’éviter tout amalgame, nous avons immédiatement retiré cette affiche de la façade de notre magasin.

Si les créatifs de Décathlon sont à la recherche d'une autre idée percutante (je veux dire : forte, puissante, marquante) en liaison avec l'actualité, je veux bien leur en fournir une gratos : montrer une photo de KIM KARDASHIAN avec comme accroche DÉCATHLON, À FOND LES FORMES ! Bon, pourquoi elle ? z'aurez qu'à prétendre que rouler sur un vélo Décathlon de marque BTWIN ça donne de beaux fessiers. Dans la pub on n'est pas à un mensonge près. Qu'est-ce qu'on dit à GG ? Merci beau cul ?

PlicPloc nous a écrit :

Cher Grincheux, Félicitations et merci à vous pour ce slogan «à fond les formes».
J’en profite pour « rebondir » vous faire part de ma réflexion au sujet de cette affiche :
Il est à mon sens intéressant de voir la vague médiatique dont profite (?) cette grande chaîne de distribution. Mais ce qui me semble encore le plus intéressant reste l’absence de curiosité (une nouvelle fois) de la part de nos « journalistes ». Disons qu’un travail correct de ceux-ci aurait pu s’intéresser à l’évolution de notre société dans sa perception de l’utilisation du vocabulaire « migration » pour une munition de chasse. Nous aurions pu nous intéresser au fait qu’une affiche identique il y a 10 ans, 20 ans, 30 ans n’aurait probablement perturbé personne et en aucun cas fait le tour de la toile (surtout pas il y a 30 ans), mais aujourd’hui elle semble (raisonnablement) outrancière (SOS racisme va pas tarder de se réveiller…).

Je m’explique : j’ai toujours entendu ce vocabulaire « spécial migration » pour des munitions destinées à abattre un oiseau en plein vol à une distance un peu plus importante que les distances habituelles.

Cela fait référence notamment aux pigeons ramiers qui volent en groupe bien souvent assez haut. La recherche tend donc vers une munition qui disperse peu les plombs (bien souvent bourre à jupe, mais une bourre grasse adaptée peut également être proposée pour la chasse à la bécassine) avec une charge en plomb importante (32 à 34g pour un calibre 12), un culot très souvent haut (12 à 16mm) et une longueur de douille importante (70 mm étant l’idéal si votre fusil est suffisamment « chambré »).

Cela fait plusieurs décennies que l’on peut trouver des munitions « spéciales migration » (voir « super migration ») par exemple chez FOB ou TUNET (le nom de cette dernière marque est, vous le comprendrez, fort adapté à l’activité qu’ils exercent : un des leader dans les munitions de chasse depuis 1933). Quelques exemples de pack « migration » voire « super migration » : http://www.tunet.fr/files/img/1282140384-91444.jpg
http://www.tunet.fr/files/img/1282140401-42412.jpg
http://www.cartouchesfob.fr/cartouche/4697-2/

La première fois que j’ai lu quelque chose concernant cette affiche Décathlon, le/la « journaliste » décrivait l’affiche de la sorte : « Sur la publicité, des cartouches de fusils de chasse sont surmontées par un rapace, toutes ailes déployés. La légende explicite le message de la réclame: "Spéciale migration".

Non, non, Madame/Monsieur la/le journaliste, il ne s’agit pas d’un rapace mais d’un pigeon ramier. Tous les rapaces ainsi que leurs habitats de reproduction et de repos sont protégés en France. Tous sont inscrits en annexe 2 de la convention de Berne et certains peuvent être déterminants ZNIEFF sous certaines conditions. En fonction des régions, certains sont classés par l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) comme « en danger » ou « en danger critique d’extinction ». Si Decathlon avait fait cette erreur, elle aurait en effet été remarquable. Le pigeon ramier est une espèces du 3e groupe au regard de l’article R.427-6-III du code de l’environnement. Un arrêté ministériel donne de ce fait aux préfets la possibilité de le classer ou non comme nuisibles dans tout ou partie du département dans le cadre d’un arrêté préfectoral annuel, après consultation du public dans le département. Dans tous les cas l’espèce reste chassable pendant la période d’ouverture générale de la chasse. Après le « 11 septembre », la chanson de CharlElie Couture « comme un avion sans ailes » semblait bannie des ondes. TUNET et FOB (et les autres) vont peut être devoir revoir leur stratégie marketing afin de ne « choker » personne ;)

PS : Le choke est une diminution de quelques dixièmes de millimètres du diamètre de l’extrémité des canons. Le choke a pour effet de resserrer la gerbe de plombs et d’augmenter légèrement la portée utile du fusil. Selon l’importance du rétrécissement, les canons sont dis plein choke, demi choke, quart de choke ou lisses, quand il n’y a pas du tout de choke. J’ajouterai que pour les indécis (ou les polyvalents) certains canons sont à choke interchangeable.

RÉPONSE de GG :
Devant un telle explosion de connaissances cynégétiques, je suis en effet en état de choke !

Ma coiffeuse s'appelle Anita

En juillet avant les vacances j'étais chez ma coiffeuse attitrée, à l'enseigne de Faudra Tif Hair. Pour tuer le temps pendant la coupe, ma coiffeuse, une prénommé Anita bavarde comme une pie, a entamé la conversation :
- Vous avez prévu quelque chose pour les vacances ?
- Oui, nous allons à Rome, avec ma femme Janine
- Quelle idée ! C'est sale, ça pue, c'est moche ! Et vous y allez comment ?
- En avion avec Alitalia.
- Quelle idée ! Ils sont toujours en retard, le service est minable, il y a une hôtesse pour cent passagers... Et vous descendez où ?
- À l'hôtel Astoria.
- Quelle idée ! C'est surfait, le service n'est plus ce qu'il était, c'est hors de prix, ça sent le moisi, le personnel est nul.. Et vous avez prévu quoi ?
- Visiter la Ville Éternelle, puis surtout le Vatican.
- Quelle idée ! Vous verrez le palais, certes, mais c'est un miracle si vous apercevez le Pape à son balcon, et de là où vous serez, vous verrez une tache blanche dans le meilleur des cas.
Là je viens de retourner voir Anita pour une remise à niveau capillaire.  Et comme d'habitude, au lieu de me laisser tranquille dans ma lecture du Parisien, Anita a cru bon de lancer une conversation (vous savez comment sont les coiffeurs ?) :
- Alors, vous êtes allé à Rome ?
- Oui
- Et c'était comment ? Pas trop déçu ?
- Franchement non ! Bien au contraire
- Ah bon ?
- Déjà, l'avion : service parfait, personnel aux petits soins : on n'a pas senti qu'on décollait, ni même qu'on atterrissait, on y était déjà.
- ça alors ... Et l'hôtel ?
- Fabuleux : il venait d'être refait à neuf, le personnel était charmant, et pour fêter la rénovation ils nous ont offert deux nuits de plus!
- Eh bien, vous avez eu de la chance ! Et le Vatican ?
- On a eu droit via l'hôtel à une visite de l'intérieur du Palais.
- Ben vous êtes vernis, vous ! Et le Pape au balcon, vous l'avez aperçu ?
- Mieux encore ! À la fin de la visite, son secrétaire personnel nous a interpellés et nous a dit que Sa Sainteté avait décidé de proposer un entretien privé à un couple chaque jour. C'est sur nous que c'est tombé !
- Incroyable, et comment ça s'est passé ?
- Nous avons eu un entretien privé de 30 minutes en tête à tête. J'ai effectué une génuflexion devant le pape pour  baiser  son  anneau  en  signe  de  respect  et  de  soumission, en pliant le genou gauche, selon le protocole.
- ça alors ! Et ensuite ?
- Il a profité de ma génuflexion pour gentiment poser la main sur ma tête.
- Et que vous a-t-il dit ?
 Il a juste dit : Mais qui donc vous a fait cette coupe de merde ?

JiJiBé nous a écrit :

Merci cher Monsieur pour ce moment joyeux. Je souhaite apporter un éclairage sur ce billet juste pour rappeler que le Saint Père est Jésuite. Or qui est le fondateur de l'Ordre ? Saint Tignasse ! Donc un connaisseur.

 

RÉPONSE de GG:
C'est trop beau pour être vrai... mais c'est vrai ! Je viens de vérifier dans Wikipedia : Íñigo López de Loyola, francisé en Ignace de Loyola, né en 1491 à Azpeitia dans le Pays basque espagnol et mort le 31 juillet 1556 à Rome, est le fondateur et le premier Supérieur général de la Compagnie de Jésus (les jésuites).

Bruxelles : ça continue !

C'est soudain apparu Quai à la Houille (poil aux c...).

C'est ben vrai, ça

Un homme avait trois copines mais il ne savait laquelle épouser.
Alors il se résolut à faire un test, pour voir laquelle était la plus apte à être sa femme. Il retira 15 000 euros de sa banque, remit 5 mille à chacune et leur dit 'Dépensez comme vous voulez.'

• La première partit en shopping, acheta des habits, bijoux, alla chez le coiffeur, en institut de beauté, etc. De retour vers l'homme, elle dit:- 'J'ai dépensé tout ton argent pour être plus belle pour toi, pour te plaire: Tout ça parce que je t'aime.'
• La deuxième se rendit au même cdntre commercial, acheta des habits pour elle, lecteur CD, télé écran plat, deux paires de tennis, des clubs de golf…  et de retour vers l'homme, elle dit: -' J'ai dépensé tout ton argent pour te rendre heureux, te plaire. Tout ça parce que je t'aime.'
• La troisième prit l'argent, l’investit en bourse. En trois jours elle doubla son investissement, rendit les 5 mille Euros à l'homme et dit: - 'J'ai investi ton argent et j'ai gagné le mien. Maintenant je peux faire ce que je veux avec mon argent. Tout ça parce que je t'aime.'

Alors, l'homme se mit à réfléchir.

Il réfléchit
Longuement.
Il réfléchit.
Longuement.
Il réfléchit.

Enfin, il décida d’épouser celle qui avait les plus gros seins. Oui, parce qu’un homme peut réfléchir, mais en fin de compte ça ne sert à rien, il finit toujours par revenir à ses critères de base.

Les clés de la banque

DOMINIQUE nous écrit de Ouagadougou :

Qui aura remarqué (Jérôme Cahuzac peut-être ?) que le logo de la vénérable banque helvète U.B.S. intègre des clefs, à ne pas confondre avec les clés U.S.B., ces dernières ayant souvent servi de "refuge" aux listes et autres documents compromettants ...

La Fête des Voisins

C'est l'histoire d'un mec... cadre supérieur dans une très grosse boîte internationale. Il s'y ennuie copieusement, d'autant plus qu'il a toujours rêvé d'être écrivain.

Alors, un jour, dans une réunion (un meeting), il pète un câble, envoie tout valser et démissionne.

Le gars se barre et loue une petite bicoque au milieu de nulle part, persuadé qu'ainsi personne ne viendra le déranger.

Il commence à écrire, mais au bout de trois semaines sans voir personne il déprime un peu. Et c'est à ce moment là qu'on frappe à sa porte. Toc, toc, toc.

Il ouvre et découvre un gros type de près de 150 Kg à l'allure de bûcheron qui lui explique qu'il est son voisin à 10 Km et qu'il organise justement une fête des voisins et qu'il est venu pour l'inviter, en lui promettant qu'ils vont bien boire et bien baiser.

Notre écrivain se laisse tenter pour se changer les idées, accepte et demande à son voisin comment il doit s'habiller (quel est le dress code de cette party).

Le bûcheron lui répond : "Ah ça, je m'en fous complètement ! On sera que tous les deux !"

Pourquoi l'immigration est indispensable aux Britanniques

Nous avons besoin d'immigrés pour les boulots que les Britanniques ne veulent ou ne peuvent pas faire. Comme exemple Premier Ministre ou chef de l'opposition.

OUT... of gas

Te fais pas de souci. Même si nous quittons l'UE nous pouvons toujours venir savourer les délices de la France.

Fallait aussi penser à ça avant de voter LEAVE

Le Brexit ça voudrait dire que nous aurions à organiser 27 concours de la chanson séparés avec les autres pays

L'intérêt de contrôler ses frontières

Ne me quitte pas

Bronzette à Novossibirsk

Robert Marchenoir a dit :
Tous les jours, entre dix heures du matin et une heure de l'après midi, une dame suspend ses avantages par sa fenêtre du premier étage et bronze cul nul pour pas un rond. Les voisins ont protesté au moyen d'une pétition auprès du conseil syndical et de la police, sans succès jusqu'à présent. Le site russe Meduza précise qu'elle porte tout de même des, euh... "vêtements", mais le moins qu'on puisse dire est que ce n'est pas flagrant.

Commentaire de GG : Cette scène touchante peut s'admirer à Novossibirsk, qui est la capitale (1,5 million d'habitants) d'une région plutôt pas connue pour la chaleur de son climat, la Sibérie. Mais peut-être qu'après tout cette dame ne fait pas bronzette : elle se rafraîchit le moteur.

Hollande essaie de nous vendre sa kaamelott

Ce montage a été réalisé par Vincent Ansieau, ayant pour pseudo VinzA. En page d'accueil de son site www.vinza.fr cet artiste explique sa démarche :

"Changer la vision du spectateur par le biais du montage... Nous savons tous que sortir une phrase de son contexte peut laisser libre cours à de nombreuses interprétations, bonnes ou mauvaises... Tel a été mon défi ! Chacune des vidéos que j'ai réalisées a donc été "remontée" à partir de l'originale, et l'intégralité des phrases que vous y entendrez est bel et bien authentique, pas de trucages, juste du montage (et parfois de la musique), que ce soit en Cinéma ou en Télévision."

Sous cette vidéo publiée sur YouTube, un visiteur nommé Daniel Chaudron a commenté la phase prononcée par Hollande "On n'entre pas par une porte de sortie" en la qualifiant de déclaration homophobe.

Arthourr a dit :

Même si ça véhicule, une fois de plus, l'idée du "benêt sans danger" des gens de gauche cher à Canal + (alors que l'inverse est visible au quotidien), je ne peux m'empêcher d'ajouter ce détournement bien connu (vidéo ci-dessus)

Monsieur-Petite-Blague a encore frappé

La CGT n'est pas responsable de tout ce qui va mal

Les feux de l'amour

France - La fracture sociale

La vie de couple chez les retraités

Jean-Claude		Brigitte

Une réception se tenait la semaine dernière dans mon village des Yvelines pour honorer quelques séniors. Il y avait là Jean-Claude et Brigitte. C'est un couple de retraités rustiques et en pleine forme. Brigitte est proche de soixante-huit tandis que Jean-Claude a dépassé soixante-dix. Je connais bien Jean-Claude puisqu'il loue un lopin de terre aux Jardins familiaux du village, non loin du mien, et nous discutons souvent sur une variété de sujets : Hollande est-il grillé ; Fillon a-t-il une chance ; est-il correct de se débarrasser des limaces en leur faisant boire de la bière bio ? Etc. C'est Jean-Claude qui m'a rapporté l'anecdote qui suit (il était tordu de rire) car, hélas, je suis trop jeune pour être convié aux agapes communales des séniors.

Un journaliste de l'hebdomadaire local, Pierre Tatillon, étonné par la verdeur du couple Jean-Claude-Brigitte, a décidé d'interviewer Jean-Claude, il l'a entraîné dans un coin calme, en emportant une bouteille de Clairette de Die et deux gobelets, et lui a demandé de lui raconter ce qu'il fait dans la journée :
- Ben, tous les jours à 8h, on se réveille, et Brigitte me fait un petit truc sexuel, lui a dit Jean-Claude. Alors je me lève, je bois le café, puis je vais pisser dans le jardin contre mon arbre habituel.
- Vers 10h, après avoir joué avec le chien et parcouru Le Parisien, je casse la croûte et là, des fois oui, des fois non, Brigitte me fait un petit truc sexuel.
- Après je vais au bistrot pour discuter avec les gens, vérifier mon bulletin d'Euromillion, prendre le pain sur le chemin du retour.
- A midi, je rentre déjeuner et après je fais la sieste et, là aussi, Brigitte me fait un petit truc sexuel.
- Après je m'occupe sur mon ordi à classer ou retoucher des photos et, vers 16h, je bois quelque chose de chaud. Pendant que je fais ça, pas toujours, des fois oui, des fois non, Brigitte me fait un petit truc sexuel.
- Nous dînons de bonne heure, vers 19h, et pendant le repas, Brigitte, alors là, toujours, me fait un petit truc sexuel.
- Après le JT de France 2 puis un détours sur TF1 pour regarder C'est Canteloup à 20h50, nous allons dormir. Et voilà, c'est comme ça depuis qu'on est tous les deux en retraite.
Le journaliste Pierre Tatillon, quand même très étonné, a demandé à Jean-Claude :
- Dites-moi, Jean-Claude, entre hommes, je ne l'écrirai pas, ça restera off, est-ce que vous pouvez me dire un peu plus précisément quels petits trucs  sexuels elle vous fait ?
- Elle me casse les couilles !

Au temps jadis des blagues de blog

Jadis, jusqu'en 2010,  il y avait dans ce blog une tradition hebdomadaire qui imposait comme seule et unique note du samedi une histoire supposée drôle, de même que dimanche est jour du Seigneur et du MP3. La catégorie existe encore colonne de droite : les Blagues de Blog. Ma source s'est tarie du fait que je ne parvenais pas à mettre la main au rythme requis sur un morceau "digne" de figurer ici, digne de vous. Aucune blague ne répondait plus guère à ma charte de qualité. Malgré cette exigence, j'ai réussi à recevoir des commentaires "stigmatisant" la médiocrité de mes blagues, même pas dignes de passer aux Grosses Têtes m'a-t-on écrit. On sait que, pour certains, passer aux Grosses Têtes sur RTL, ou même l'écouter, est la pire des abominations.

Chacun sait qu'une blague ne touche pas tout le monde de la même façon. D'abord il y a deux catégories d'audiences : les hommes et les femmes. Les femmes sont en général hermétiques aux histoires drôles. Elles n'aiment pas les entendre, encore moins les retenir et les raconter. Donc ne parlons plus des femmes.

Reste les hommes. Les blagues peuvent se classer en catégories : couples, Corses, cocus, fonctionnaires, Belges, blondes, etc. Je mets au-dessus du lot les histoires absurdes, celles dont on peut se souvenir des années après, qui surprennent toujours par leur chute. On en sourit intérieurement encore souvent au fil du temps. Quand on les a oubliées, on les recherche : "tu sais, l'histoire du pain de glace, toi tu dois t'en souvenir, une histoire à rebondissement invraisemblable, on s'était tordu de rire, mais si...!"

Je vous propose de vous replonger dans quelques exemples :

"Passe-moi le chat", blague de blog du 01.10.2011
"Le chat et le poisson", blague de blog du 31.07.2010
"Le grand Black au torse luisant", blague de blog du 20.02.2010
"La moutarde de Dijon", blague de blog du 16.01.2010
"Les pains de glace", blague de blog du 09.01.2010
"Conte de Noël à Bergues", blague de blogue du 23.12.2013

Certains sont de grands amateurs de ce type d'histoire, presque des collectionneurs (je pense à Dominique). D'autres haussent les épaules à la fin et les trouvent absurdes (justement !).

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Le texte qui précède a été publié ici le 10 mai 2012. Je le republie en pensant aux nouveaux visiteurs, et aussi parce que certains anciens font parfois allusion à l'une ou l'autre de ces blagues du passé, comme dernièrement Amélia qui demandait  : "Vivement ce déjeuner de blogueur avec quelques fidèles lecteurs ! J'ai hâte... Combien de seaux de moutarde puis-je apporter ? :-) " Qui pouvait comprendre l'origine de cette demande saugrenue ? A part Dominique, qui s'en est entiché. Eh bien, vous avez la réponse historique ci-dessus en cliquant sur "La moutarde de Dijon", blague de blog du 16.01.2010.

SUIVI :
Dominique-le-fidèle (comme il y eut au Club Med Djerba-la-Fidèle) me rappelle qu'au moins une blague de blog mémorable manque à la liste, celle de la retraitée pauvre de Bergues... je viens de l'ajouter ("Conte de Noël à Bergues").

"Je pars pour la scierie" (Arrestation d'un terroriste présumé dans l'Aveyron)

J'ai reçu d'un fidèle visiteur le texte suivant se présentant comme une coupure de presse. Contrairement à mon habitude, je n'ai pas cherché à en trouver l'origine pour le valider. Vous comprendrez pourquoi en lisant...

ATTENTION AUX TERRORISTES DE L'AVEYRON...

Un cultivateur de l'Aveyron a été arrêté par les gendarmes et placé en garde à vue, suite à une conversation téléphonique interceptée, dans laquelle il annonçait à sa femme: "Je pars pour la scierie".  

Aveyron 17 janvier 2015 --  Arrestation d'un dangereux terroriste présumé. C'est le jeudi 14 Janvier dernier que la DGSI se met en rapport avec la brigade de gendarmerie de Réquista dans l'Aveyron un terroriste présumé se préparerait à partir pour la Syrie faire le  Djihad.
     Il n'en faut pas plus au brigadier-chef Jean-Loup Sanaïre pour mettre en place un plan épervier sur le Réquistanais. Une opération d'envergure qui a porté ses fruits puisque quelques heures plus tard, sur la D 902 qui relie la commune de Réquista à Cassagnes-Begonhès, le suspect barbu est intercepté au lieu dit Le moulin de Clary.
     A bord de son véhicule, une Citroën C15, c'est un vrai arsenal que découvrent les gendarmes : arme blanche de type couteau Laguiole en corne de vache Aubrac véritable, une hachette à manche fibré bi-matière de marque MacTruchon de chez Brico, Pipo, un fusil de chasse a priori bien entretenu, une cartouchière richement fournie de plombs Tunet n°6 ainsi qu'un sac complet d'engrais Monsatanas qui entre, notamment, dans la composition de certaines bombes artisanales.
     Le suspect, Raymond Cubombet, un Réquistanais de 57 ans jusqu'alors inconnu des services de la gendarmerie, est immédiatement placé en garde à vue pour y être interrogé. Ce n'est que 7 heures plus tard qu'il en ressortira libre mais choqué par cette expérience.
     Il témoigne : - "Bon, c'est vrai que cet été, entre le fauchage, l'agnelage tardif et les moissons, raconte-t-il, j'ai pas trop eu le temps de faire du bois... On s'est vite retrouvé à court à la maison avec les températures de ces jours-ci ! Du coup, j'ai appelé mon épouse sur mon Nokia pour lui dire que je partais pour la scierie. Acheter des chutes de bois quoi... C'est moins cher... Je pensais pas me retrouver au trou !"
     Une bavure qu'ont bien du mal à dissimuler les gendarmes de la petite  bourgade. Le brigadier-chef Sanaïre s'explique: - "Dès le début de l'interpellation on a eu des doutes. Alors qu'on s'attendait à entendre 'Allahou Akbar' comme il est de coutume avec les terroristes, le suspect n'arrêtait pas de répéter 'Diou me damne ! Diou me damne ! à tout bout de champ". Il a donc fallu que Raymond Cubombet apporte la preuve de ses bonnes intentions pour finalement être mis hors de cause.
- "Bon, c'est vrai que je porte la barbe, reconnaît-il. Mais ça fait 40 ans que je la cultive ! Vous savez, il fait pas chaud l'hiver ici, et la seule fois où je l'ai rasée, ma femme ne m'a plus parlé jusqu'à ce qu'elle repousse... Après, ils m'ont reproché d'être basané. Moi je veux bien, mais quand on a passé presque 60 ans de sa vie le cul dans un Massey (Note de la rédaction : diminutif pour la marque Massey-Ferguson qui est au tracteur ce que Harley-Davidson est à la moto) à bronzer derrière un pare-brise, ça tanne la peau vous savez"  
     Et quand on demande à Raymond de s'expliquer sur les armes retrouvées à l'intérieur de son véhicule, il n'est pas avare d'arguments.
- "Ben, la hachette c'était pour faire du petit bois, c'est plus pratique pour allumer le feu. L'engrais, c'est pour les champs. Je venais juste d'aller le chercher à la coop. Et le fusil c'était pour tuer un ou deux lièvres cet après-midi mais c'est foutu maintenant.... Ils m'ont coupé la chique avec leur histoire de terroriste...
     Quant au couteau, c'est traditionnel : vous connaissez beaucoup d'Aveyronnais qui portent pas de Laguiole sur eux, vous ? En plus ça permet de me couper un bout de saucisse sèche en cas de fringale". Un bout de saucisse sèche qui a changé le destin de Raymond Cubombet puisque, en menant leurs investigations, les gendarmes ont retrouvé un bout de ladite charcuterie estampillée Serres d'Alban dans un coin de la boîte à gant, le mettant définitivement hors de cause. La DGSI s'est longuement excusée pour le désagrément occasionné expliquant : "On est un peu tendus en ce moment"...

Soyez prêts à faire face